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Le blog de Michel Giliberti

Pere-noel0001

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Jean-François-2

Une banlieue comme ailleurs...

Jean-François

Un sourire et des mots...
 

Jean-François-4

      Puis des bleus à l'âme et des bleus sous les yeux.

 
 © Michel Giliberti 

      

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la-main

L
es perles noires comme ta peau dans l’azur de la chambre
Les perles noires comme tes yeux sous tes paupières d’ambre.


© Michel Giliberti
 

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La-porte

Vous aviez au matin, quand le soleil embrasait votre grand corps, un sourire complice et amusé qui en disait long sur le poète distrait qui, en soirée, vous assommait de tous ses mots.
Vous aviez au matin, quand l’odeur du café montait de la cuisine, un air affamé qui aiguisait mon appétit de vous. 

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L'amour-

C’est ici, sur tes lèvres, que l’eau donnait la soif
Et par là, dans mes yeux, la blessure d’un été.
C’est de toi que naissaient tant de contes
Et déjà, l’âme grise de mes fables.
Il te fallait si peu pour récolter beaucoup...

L'amour-2       Être à temps chaque nuit quand tant d’autres tardaient
 À tort, chaque jour quand chacun raisonnait
Vivre ailleurs s’il fallait être là
Vivre l’autre avant de vivre soi.
 Il me fallait beaucoup pour te saisir un peu...

L'Amour La jeunesse, terreau vif sous les reides qui croissent
Son sang neuf, sans souci, qui se barre par un drain
Blanche, la sève, héroïne de nos siestes
Noire, la Parque qui s’invite, discrète
Il nous faudrait si peu, mais nous avons tant eu.

© MichelGiliberti 

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crane-et-miroirÀ l’écoute de Satie me viennent de sottes idées, noirs sursauts comme ses notes dans l’abîme serti de mes soubresauts ; noirs assauts de mes sautes d'humeur et de mes maux tressés.
Satie… Si ses blanches et ses noires conjuguent autant mes ressauts et mes creux, si comme des satellites, elles tournent autour de mes vanités satyriques ou salutaires, c’est le signe que Satie essaime et sème dans la soie de mes sens assagis.
 

 

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Franck-et-la-pendule-
Pendant les longues séances de pose, Franck, l'enfant terrible, l’enchanteur de tant de mes tableaux, mon Salaï, croquait le temps sous toutes ses formes. 
 

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Comme certaines "prestations télevisuelles", alors que j'étais chanteur, circulent sur Youtube, Facebook et d'autres sites facétieux de la toile...
Comme on n'est jamais si bien servi que par soi-même...
Comme nous rentrons en hiver et qu'il faut se détendre, voici donc ma première apparition à la télévision aux "Rendez-vous du dimanche", l'émission de Michel Drucker.Ça ne nous rajeunit pas.
Je n'en mets qu'une, les autres sont sur Youtube.

 

                                                                     Il y a chez elle
Des parfums troubles d'encens 
Il y a chez elle
Des pavots de papier blanc
Il y a chez elle 
Des lumières bleues voilées
Il y a chez elle 
Des fenêtres fermées
Qu'il fait bon chez elle
Que j'aimerais vivre chez elle !
Il y a chez elle
Des fruits mûrs un peu partout
Il y a chez elle
Des livres qui traînent partout
Sur son tapis ciel
Des boîtes multicolores
Vides, irréelles,
Juste pour le décor
Qu'il fait bon chez elle
Que j'aimerais vivre chez elle.
Il y a mon coeur qui reste accroché à ses gestes
Il y a mes yeux qui cherchent ses traits, les caressent
Il y a mes mots qui s'envolent en pensée.
Il y a les phrases d'amour que j'invente en rêve
Il y a les lettres d'amour que j'écris sans trève
Et qui finissent toujours jetées dans un panier.
Il y a chez elle
Un grand lit tout blanc de plumes
Il y a chez elle
Des bougies noires qui fument
Il y a chez elle
Des vins d'Italie
Des photos du ciel 
Quand il devient tout gris
Qu'il fait bon chez elle
Que j'aimerais vivre chez elle.
La, la, la....
La, la, la...
Il y a chez elle
Des lumières bleues voilées
Il y a chez elle
Des fenêtres fermées
Qu'il fait bon chez elle
Que j'aimerai vivre chez elle. 

 Paroles & Musique M Giliberti.
 

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 Mosquée-

Juste avant la nuit, juste avant le sommeil, quand tout devient silence et que les belles pensées se réveillent, je me dis que les hommes sont à l’image des sources claires qui alimentent les fleuves avant que ces derniers ne se jettent à la mer. Rien d’autre.
Les minarets, les églises, les synagogues, et autres lieux de cultes, ces fleuves bouillonnants qui font grossir tant de creuses conversations sur nos différences d’identités, ne devraient-ils pas plutôt alimenter notre unité terrienne, cette mer unique, cette tache bleue encore vivante dans un univers si noir où seul "l’esprit" devrait prendre la parole?

Un-berbère-jpg-2-copie-1





  

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De tous nos combats fratricides, de cette promiscuité des sens, de cette alliance des divorces, je garde au cou les marques mauves de tes dents, comme des perles inestimables et comme autant d’azur dans les heures noires de nos délires.
J’ai tant aimé te voir m’aimer, te voir sourire, te voir dormir.
J’ai eu si peur de tes silences, de mes secrets, de nos colères…
Comment te dire la beauté de ces combats d'amour ? 
Je suis né de tes mots et c'est des miens que je mourrai, mais avant, comme la pluie parfume les jardins aux heures chaudes de l'été, mes larmes sur tes joues sauront embaumer ton sommeil.


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Mon travail d'artiste peintre, auteur et photographe...

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