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Le blog de Michel Giliberti

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reflexion

Ukraine... ou la folie d'un homme.

Sale guerre, sale dictature, sale mémoire piétinée ! Comment vivre léger quand tout pèse des tonnes ? L’idéologie, la mégalomanie et l’hystérie meurtrière restent encore et toujours le vrai moteur des hommes. Quant aux destins brisés, deux ou trois monuments en l’honneur de martyrs sauront bien y pourvoir.

Ecce homo !

site https://www.singulart.com/fr/artiste/michel-giliberti-16755

site https://www.michel-giliberti.com/

blog http://michelgiliberti.com/

 

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Daoul-et-le-pot-

À la moisson des grands échanges humains, faisons comme le coquelicot, tache d'amour, rouge éternel au creux des blés si blonds, le sang de nos labours pour récolter tout le bonheur des hommes.

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l'atelier-au-coucher-du-sol

Et voilà… la journée s’éteint. Dans l’atelier les rayons du soleil qui commence à se coucher, viennent illuminer le tableau sur lequel j’ai travaillé toute la journée. Dans le jardin, les merles se racontent leur quotidien et la grive exagère. Est-ce à dire que la vie est belle ? Dans ces moments-là, je veux bien le croire, mais tout est si fragile. Tout est si démesurément fragile…

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Never-again-b

Travail : du latin populaire " Tripaliare", qui signifie "Tourmenter, torturer avec le trepalium".
Trépalium :  Instrument formé de trois pieux, deux verticaux et un placé en transversale, auquel on attachait les animaux pour les ferrer ou les soigner, ou les esclaves pour les punir.
BONNE FÊTE DU TRAVAIL EN CE 1er MAI.

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enfant-de-Douze

Parviendrons-nous un jour à grandir sans ces guerres permanentes qui nous détruisent et, enfin, garder aux lèvres le sourire lumineux de notre enfance ?

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indien

   Complicité, naïveté, où sont nos grands voyages
 En idées sages 
  Paupières au ciel, rêves en mer, où sont nos beaux rivages
En pays sages.
  Où se cache l’Homme 
 Et puis ses mots
 Et puis ses gestes
  Son destin.
C’est peut-être de ce vertige-là
De cette utopie-là
Que je suis en manque.


© Giliberti

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chat-jardin-blog

Certains n'ont aucun soucis et dès le matin, dans les premiers rayons du soleil, se fatiguent terriblement dans le jardin...

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hellebores-blog

Si chaque année, février me balance à la gueule un an de plus et sa St Valentin désabusée, il m’apporte aussi l’éclosion et l’épanouissement des hellébores du jardin. Cette fleur qui va durer si longtemps permet de me distraire un peu de toutes les blessures humaines que nous voyons s’étaler sur nos écrans depuis des semaines, de toutes ces révolutions des peuples qui ont soif de liberté, de démocratie et dont certaines aujourd’hui vivent l’enfer.
Petites taches vert pâle, mauves dans les coins obscurs du jardin… Grands rêves d’un peintre qui voudrait que s’aiment les hommes, que leurs couleurs sèment...

 

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Sidi-bou-Said-intime

Du fond de mon placard doré, je capte souvent la fuite du temps, ses cimes inatteignables, ses abîmes permanents.
Toujours attendre l’improbable, partir pour nulle part, croire que les chaines se brisent, ranger ses souvenirs puis recommencer avec de moins en moins d’entrain jusqu’à ce qu’un jour tout se fige comme à la surface d’un lac gelé.
Reste à cultiver le vague désir de sagesse qui se barre à la moindre turbulence des sentiments. S’imprégner de la chaleur des soirs d’été quand l’orage menace, mais, comme le temps, les soleils se barrent, eux aussi, et les pluies n’arrosent plus rien.
Attendre alors de l’obscur si proche la clarté élargie comme celle du regard des enfants. S’en contenter. Pas de renouveau. Juste un repli.
Partir finalement !
Partir en abandonnant tout sur place, comme on laisserait un courrier inachevé sur son bureau.
Partir en renonçant au temps dilué des rêves, des inextricables complexités d’une âme sauvage qui à force d’écouter les autres aura oublié de s’entendre.

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Iraqi-ptsd-2

Ce tableau que m'avait inspiré la guerre en Irak confirme les nouvelles révélations de WikiLeaks quant aux exactions commises durant cette période par l'armée américaine. Tortures mentales et physiques prouvent, une fois encore, que nous sommes malheureusement toujours des barbares et qu’il serait temps, quand on parle de mondialisation, d’en parler en terme de fraternité et non de profits.

http://en.wikipedia.org/wiki/Posttraumatic_stress_disorder

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Mon travail d'artiste peintre, auteur et photographe...

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