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Le blog de Michel Giliberti

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PEAU-D-AME-blog-

À l’écart de vos rêves, je retrouve les miens et même si le vide ensorcelle la chambre de nos leurres, il parvient cependant à faire vivre de la mort née d’un soir, des mots noirs, vrai venin sur vélin.
Est-ce à dire que c’est juste ? Je l’ignore.
Tout réflexe porte en lui ses victoires et ses chutes, mais à l’ombre du passé, poudroie le beau présent, comme autant de poussière dans un rai de soleil.

 

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bizerte-Blog

Quand le matin fait scintiller l’argent de l’eau du port de Bizerte, j’aime à me dire que la vie commence avec un clapotis contre la pierre moussue où les filets de pêche se reposent, le rouge sang d’une frêle barque et le ballet au ralenti des habitants.
Rien de plus… Peut-être un café ?
Oui, juste un café, les yeux fermés sous le soleil, en attendant que, demain, tout recommence.

bizerte-3-blog-

  Et puis, devant l'adresse des enfants, devant leur insouciance matinale...

Bizerte-2...se souvenir que c'était vous, autrefois, qui, dans le soleil, vous mesuriez aux éléments .

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  • sefseri

Le Sefsari, ce voile tunisien en coton, en soie ou en lin, demeure un de mes plus chers souvenirs d’enfance. Rencontrer, au détour des rues, des femmes âgées qui le portent encore m’émeut infiniment. Chacune d’elle fait renaître mes jeunes années, au point de la suivre des yeux, jusqu’à ce qu’elle disparaisse. Parfois nos regards se rencontrent et font vibrer nos mémoires respectives. Le mien traduit que je l’aime, que je la respecte. Le sien… qu’elle connaît l’histoire !
Dans ces moments nous nous comprenons.
Tant de ces femmes ont eu un enfant français accroché à leurs jambes et tant de Français de cette époque sont un peu des orphelins de ces femmes qui sentaient la « helba », (fenugrec) une épice qui continue de me poursuivre dès que je vais en Tunisie. Dès que je la sens flotter dans l’air, je marche au radar et retrouve celui ou celle qui en est imprégné.
"Sefsari et Helba", la clef des souvenirs...

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enfant-de-Douze

Parviendrons-nous un jour à grandir sans ces guerres permanentes qui nous détruisent et, enfin, garder aux lèvres le sourire lumineux de notre enfance ?

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fleurs-roses-B

Un peu de rose, un peu de vert du jardin

Comme pour les cantonales de ce dimanche

je vous embrasse tous.

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indien

   Complicité, naïveté, où sont nos grands voyages
 En idées sages 
  Paupières au ciel, rêves en mer, où sont nos beaux rivages
En pays sages.
  Où se cache l’Homme 
 Et puis ses mots
 Et puis ses gestes
  Son destin.
C’est peut-être de ce vertige-là
De cette utopie-là
Que je suis en manque.


© Giliberti

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Salim-kechiouche-C

L'acteur Salim kéchiouche, un après midi à la maison. Son regard, son sourire...

Salim-kechiouche-B

Sa disponibilité, sa simplicité...

Salim-kechiouche-D-

Ses expressions immédiatement reconnaissables...

Salim-Kechiouche-A

Sa décontraction, son amitié.

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chat-jardin-blog

Certains n'ont aucun soucis et dès le matin, dans les premiers rayons du soleil, se fatiguent terriblement dans le jardin...

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Écoutez... écoutez et vibrez.
C'est un groupe tunisien. Un son et des images éloignées de tous les clichés. C'est une émotion inouïe, une surprise inestimable qui vous fait replonger dans l'innocence, dans l'envie d'aimer l'autre tel qu'il est.
C'est le coeur qui bât !
Le coeur qui cogne, devrais-je dire !
Un talent qui réconcilie de toutes les déchirures humaines et donne davantage l'envie d'aimer le peuple tunisien. Pour ma part, j’écoute ce groupe en boucle depuis que je l’ai découvert, c’est à dire hier soir.

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Paris-9

Cœur en vrac, mais la vue à cran, voici quelques battements de paupières sur Paris… ici, les Tuileries avec au fond, dans l'immense perspective, l'obélisque de la place de la Concorde et encore plus loin, l'Arc de triomphe...

Paris-8

Le Louvre, depuis les jardins des Tuileries...

Paris-2

Toute la tragédie statufiée dans cette oeuvre de Louis-Ernest Barrias « Le sacrifice de Spartacus » dont le maniérisme ne parvient pas à me faire fuir ce jardin des tuileries... C'est beau, c'est tout.

Paris-7

« Le Minotaure terrassé par Thésée » de Jean-Étienne Ramey... grande légende, grande ville, grande épopée pour mon oeil et pour celui des touristes.

PArisRue de Rivoli, minuit ! Un angle de l'hôtel de ville. Je reprends la route jusqu'à la prochaine "virée". Si près Paris, heureusement... si près !

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Le blog de Michel Giliberti

Mon travail d'artiste peintre, auteur et photographe...

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