Étrange médina quand tout s’endort et tout se tait… quand traine encore la présence feu follet de ses habitants.
Étrange médina quand tout s’endort et tout se tait… quand seuls quelques chats silencieux vous frôlent et s’enfuient. Quand la nappe mordorée des réverbères irise d’un vert scarabée les ruelles inhabitées.
MG
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Je vous parle de désordres, je vous parle de panique.
Ce monde croit qu’il croît, mais il nous crucifie. Les enfants meurent, les hommes tuent, les femmes subissent.
Vous, entre nuages perle et ciel d’améthyste, vous ne m’écoutez pas. Votre horizon se trouve là, juste sous vos boucles brunes, juste sous vos paupières, cela vous suffit bien.
MG
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Autour de vos cheveux de buis, l’écrin de cet ouvrage précieux semblait avoir été construit pour vous et dans le ciel serein de tant de mes tourments, il m’assurait que le paradis est bien terrestre.
M Giliberti
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