Et comme le temps n’est pas entre mes mains, qu’il a au cœur d’autres naufrages, je reste là dans les couleurs du soir à me demander où je vais.
Dans chaque port, dans chaque attache, un sens unique du destin donne à mes heures le sentiment de tout rater.
Dans ces moments de nostalgie… saudade, bien sûr.
Saudade jusqu’à la nuit en compagnie d’Alvarinho, cet ami vert qui sait m’atteindre et me parler de tes yeux sombres.
Saudade.