C’est l’abysse d’une étrange demeure
D'un endroit bien enfoui dans les signes.
Il inscrit en mémoire les tabous
Et meurtrit l’insoumis qui en souffre.
C’est le souffle d’une étrange torture
D’un endroit où s’ordonne la vie.
Il détruit une à une les ivresses
Et immerge votre pourpre dans le noir.
© Giliberti