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Le blog de Michel Giliberti


Aucun regard n’était plus dense
Aucune danse n’était plus rare
Que ses dérives reverdies
Aux rives vertes de son rire.
Aucun repères dans ses suites
Aucune fuite dans ses terres
Rien qu'un silence au bout des cris
Et qui décrivait ma violence.

© Giliberti / 2007


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commentaires
K
ton silence....
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M
Ton entente...Mchel
K
quel cri !!! la vraie douleur est muette.....j'écoute ta silence.
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M
J'aimerais connaître les tiens...Michel
J
L'amour ne peut-il exister sans passion, sans violence ? (violence au sens le plus large du terme). Je ne le pense pas.<br /> Et puis je hais les tièdes. Voilà.
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M
Moi aussi!Par essence, la passion  ne se conçoit  que par le prisme de la douleur ; c'est fatalement une vision exarcebée qui donne des ailes aux créateurs... sans violence, sans passion, y aurait-il eu des oeuvres comme "Roméo et Juliette" et plus près de nous...  "Sheila et Ringo?" Vivivvi... @ bientôt
M
le mouvement du corps évoque une danse et l'intensité d'une souffrance qui a besoin de jaillir...je remarque que tu n'avais encore ta superbe signature... bonne journée
Répondre
M
C'est vrai je signais hyper petit à l'époque avec les initiales de JC et les miennes, et puis un jour après une fulgurance analytique, j'ai eu une deuxième signature, puis enfin après encore une autre révelation, j'ai réalisé qu'il fallait signer de fma signature de tous les jours, celle que j'ai depuis des dizaines d'années et ouf, ce fut un soulagement.@ bientôt,Michel
I
J'aime votre violence...Ikkar, with love
Répondre
M
Parce qu'elle est amour. C'est la seule que j'accepte... @ bientôt,Michel

Le blog de Michel Giliberti

Mon travail d'artiste peintre, auteur et photographe...

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