Déjà ce personnage m'avait paru navrant et pitoyable lorsqu'il avait conclu pour justifier le tourisme sexuel dans les pays « exotiques » : « Sinon, qu'irions-nous faire dans ces pays infestés de moustiques ? »
Je n'avais jamais entendu pire cynisme. Résumer ces pays à des « moustiques » et excuser plus ou moins ceux qui vont se « taper » des jeunes me révolte.
Déjà, dans un de ses livres (le troisième tome de son journal intime) il avait dit : « Pourquoi faire tant d'histoires quand les enfants s'amusent avec des plus grands qu'eux ?»
Désormais, Pascal Sevran n'est plus seulement le chanteur raté et recyclé dans les croisières pour troisième age, il est aussi le personnage pitoyable et grotesque du PAF. Le pire, c'est le chanteur Renaud, paré de toutes ses grandes phrases sur la misère des peuples opprimés, qui court se montrer à son émission de merde du dimanche et balance sa chanson « les Bobos » devant Sevran qui, trop content de le recevoir, se trémousse comme une vieille dinde devant une volée de maïs.
Quelle tristesse !
Grand-père et son petit fils dans la région de Gafsa. Nous avons partagé du pain, des olives et des sourires...
P.S. Il n'y avait pas de moustiques !
Père et fils dans la région de Tozeur. Toujours pas de moustiques ! Nous avons juste partagé quelques dattes.