Depuis ce monde du silence où j’entends chacun de vos cris, il me reste une mise à nue, un vide étrange qui me confond ; un vide qui clôt mes souvenirs et s’ouvre à vos désirs.
Sachez que dans mes nuits, tout ce qui se ternit se pare aussi d’éclat et qu’à l’heure douce de la fin, s’ajoute celle des lendemains de marbre noir ou de fusion, de ciel obscur ou de terre profonde.