Au silence d’un été bruyant de tant d’amour, à ces heures d’insouciance quand midi nous assomme, les heures sourdes d’automne tentent de faire écho.
La pierre comme la terre s’en remettent au sommeil, le feuillage s’enflamme et le feu dans la pièce a détrôné la glace.
Quant à nous, nostalgiques de nos tachycardies, de l’acide chaleur de ces jours de chaos, nous avons en mémoire nos futures retrouvailles. (cliquer sur les images pour les aggrandir)
Michel Giliberti