
Le paradis perdu de ses jouets ? Les tâches rouges des coquelicots dans les blés ? La douce alarme de son cœur aux chants des amours naissants ?
Son mal de voir tout plus grand jusqu’à l’agacement ? Ce mal d’en haut pour fuir son mal d’en bas ?
L’éther pour fuir la Terre ?
La toile pour fuir l’étoile ?
La bête qui vit en moi attend toujours de tes caresses, mais un hiver maussade et un été humide, lui donnent l'envie d'un autre maître.
Je me barricade derrière l’ennui… petite résistances et douces revendications...
Mon mal d’en haut, comme un carillon éolientin, tinte au grès du vent.