Elles vous éclairent sur cette déshérence des choses espérées, des choses de la vie.
Alors vous croyez que c’est le prix à payer pour vos fautes.
La faute n’existe pourtant pas.
Elle est un mot… un mot qui nomme et qui pourrait ne pas exister.
Pourquoi faudrait-il s’imaginer responsable de nos pas qui s’emmêlent et de nos mots qui divaguent ?
Au déclin de la prétention, les maladresses anciennes du corps comme celles de l’esprit peuvent enchanter le départ.