De tes feux magnifiques,
Il ne reste que cendre.

Ta mélancolie.
J’aime la pudeur qui fait hésiter ta voix,
Les veines fines tout à l’ombre
Là, sous ta peau
J’aime les confidences qui ouvrent tes lèvres.
J’aime ta blessure,
Paradis fermé de tes noirs secrets.
Je déteste mes mots, esclaves dociles
De mes entêtements infantiles
© Giliberti / 2007