Certains hivers tunisiens, alors que la plage n’est plus qu’un souvenir, que Moez et moi bavardons à l’ombre des murs blancs, au son des musiques sirupeuses, la lumière des bougies fait naître de cette composition orientale faite de divans profonds, de soie et de velours, des ambiances de peintures hollandaises.
Dans ces soirées d’ambre et d’obscur, dans ces versions des mille et une nuits revisitées, Moez prend alors les allures d’un authentique Rembrandt.