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Le blog de Michel Giliberti



I
ncertaine l'ouverture
Si fatal l'obstacle...
Qu'ils sont tristes ceux-là
Qui défont nos audaces.
Imprécis les amours
  Si limpides les haines...
Qu'ils sont tristes ceux-là
  Qui construisent nos peurs.

© Giliberti / 2008

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commentaires
B
Douceur dans un premier temps, et la profondeur du regard ensuite, vous avez merveilleusement capté la beauté de celui là.
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M
<br /> Merci Bougrenette, mais c'était facile vous savez...<br />  @ bientôt,<br /> <br /> Michel<br /> <br /> <br />
N
sous la peau noir , il ya sans doute un coeur blanc , le racisme est le culte de ceux qui sont moin civilisé
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M
<br /> Quelle belle devise Nizar, mais le blanc n'a pas le monopole du coeur, hélas...<br /> @ bientôt,<br /> <br /> Michel<br /> <br /> <br />
I
plus j'avance et plus je prends conscience qu'il n'existe pas de "vérité" universelle, le sachant reste: la tolérance, le dialogue, le libre arbitre.
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M
<br /> <br /> Non, bien sûr, la vérité n'est jamais qu'un mot à employer au cas par cas et de toute évidence, nous devons faire de nos partages et de nos tolérance "notre" seule vérité.<br /> @ bientôt,<br /> <br /> Michel<br /> <br /> <br /> <br />
F
Pour rebondir sur le commentaire d'Isabelle, juste au dessus, j'avais confié un de mes textes (qui fut lu au Théâtre National de Strasbourg) à une de mes filles pour un devoir en français, en lui demandant de ne pas donner la source, qu'elle ne mentionne pas l'auteur, donc moi....La prof avait lu le texte en classe et avait donner une interprétation totalement fausse. Ma fille avait alors donner le véritable sens du texte, la teneur en était l'homosexualité, la première sortie en ville d'un homme avec l'homme qui allait être l'homme de sa vie (ma rencontre avec mon compagnon....). La prof s'était insurgée sur cette version en disant haut et fort que ma fille n'y comprenait rien et qu'elle avait des idées "déviantes".... Le lendemain, je suis allé trouver la prof en question avec l'original du texte, et lui ai avoué en être l'auteur... Vous imaginez la suite... tout ça pour dire qu'effectivement, il n'est pas simple de comprendre ce que veulent ou ont voulu dire les auteurs...Alors, les cours de philo, pour moi, ne sont pas toujours le reflet d'une vérité... on ne sait jamais ce qu'un auteur voulait faire passer comme message...Amicalement,Jj
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M
<br /> <br /> Je pense qu'il y a un moment où l'on est en phase avec un auteur et qu'il suffit d'un rien pour passer à côté. Parfois je relis les auteurs que j'aimais quand j'étais adolescent et je découvre<br /> des choses dont je n'avais même pas soupçonné le sens. Parfois l'inconscient refuse la compréhension, mais là, c'est parfois que nous sommes trop touchés...<br /> Je trouve très bien et très enrichissant que ton texte ait été lu devant des étudiants. J’ai eu la chance, il y a quelques années d'avoir un de mes romans choisi (Derrière les portes bleues) par<br /> un élève pour faire une dissertation et son professeur très touché par ses écrits a souhaité me rencontrer et me faire parler de ce livre devant sa classe. J’étais très troublé, mais heureux<br /> d’une telle complicité.<br /> @ bientôt,<br /> <br /> Michel<br /> <br /> <br /> <br />
I
mauvaise interprétation, désolée;visiblement interpréter le ressenti de celui qui écrit est un exercice périeux, chacun  lit ses mots avec son coeur, mais après tout n'est pas la part d'un rêve littéraire.ce qui prouve d'ailleurs que nos chers intellos en tous genres qui prétendent connaitre la pensée des auteurs sont bien prétentieux.le racisme ne m'a pas effleurée, il n'est pas dans ma culture
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M
<br /> <br /> Le poème est flou de toute façon. Je l'ai écrit quasiment en écriture automatique, je dirais... De temps en temps, ça me prend et je comptais sur les photos pour lui ajouter du sens...<br /> L'essentiel reste d'en parler et si le racisme n'existe pas pour certains, il est d'actualité bien sûr,<br /> Merci Isabelle,<br /> @ bientôt,<br /> <br /> Michel<br /> <br /> <br /> <br />
F
Lews racistes sont une race à part qui fait que je suis moi même raciste... of course !!!FX
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M
<br /> je te suis... :o)<br /> <br /> Michel<br /> <br /> <br />
B
Désolée de n'avoir pas su interpreter... En fait, c'est le crâne rasé qui m'a fait penser au sida... cela aurait pu être le cancer, la chimio, tout ça tout ça..
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M
<br /> Surtout pas... tout ça n'était pas clair... mais tu sais que le crâne rasé est un classique de nos jours, et chez les africains, c'est une réussite absolue.<br />  @ bientôt,<br /> <br /> Michel<br /> <br /> <br />
F
Ces images en noir et blanc comme autant de rèves colorés... Ces visages qui viennent buter sur nos peurs si mesquines... si peu à la hauteur de ces regards brillants et brulants..Plein d'amitié, MichelFrançois
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M
<br /> Merci François de toujours si bien interpréter mes petits messages.<br /> Toute mon amitié<br /> @bientôt,<br /> <br /> Michel<br /> <br /> <br />
I
mais voilà comment se libérer de la passion ?
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M
<br /> La passion? comment ça?<br /> <br /> <br />
B
Ferais-tu référence au sida ?
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M
<br /> Non. Je plains seulement les racistes... mais je ne suis pas toujours très clair :o)<br />  @ bientôt<br /> <br /> Michel<br /> <br /> <br />
M
Qu'ils sont beaux ces mots-làpour démasquer les broyeurs de rêves...
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M
<br /> Merci Michel... "broyeur", c'est le mot.<br /> @ bientôt,<br /> <br /> Michel<br /> <br /> <br />

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Mon travail d'artiste peintre, auteur et photographe...

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