
Quand tout ici me retient
De l’alliance de nuit
À l’embrun du matin,
Quand au soleil des nuits mortes
La vague est d'un argent
À l'éclat sans pareil,
Quand déjà je somnole
Du repos attendu
Sous la courbe d’azur,
Quand je t'entends dire encore
Que le vent n'est pas rien
Et qu'il faut s'abriter,
Où partir ?
© Giliberti / 2007