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Le blog de Michel Giliberti

De tes terres à mes feux
Que d’ombrage en toute heure,
De ton port à mon ancre
Que de noires distances.
Nos écumes stériles
N’ont jamais rafraîchi
Nos sourires en attente
Et nos gestes rouillés.
De mes lâches instincts
À tes rites barbares
C’est pourtant bien l’amour
Qui nous vide et nous comble.


 © Giliberti / 2007


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commentaires
C
<br /> <br /> C'est une amertume, souvent, le sentiment amoureux.<br /> <br /> <br /> <br />
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M
<br /> <br /> D'où l'intérêt d'apport sucré de temps à autre... :o)<br /> Bisous<br /> <br /> <br /> Michel<br /> <br /> <br /> <br />
L
Et nous invite<br /> A toujours commencer...<br /> Michel, vos textes sont à la hauteur de vos tableaux.<br /> Merci à Neurhône de m'avoir fait trouver ce site.<br />  <br />  
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M
J'ai lu vos commentaires au fur et à mesure et j'étais assez dérouté je l'avoue, persuadé que vous vous amusiez un peu de moi (dans le fond j'ignore pourquoi) je suis soulagé et maintenant ravi que vous soyez passé par là et moi aussi je remercie Neurhone dont j'apprécie très régulierment les textes, les poésies et les photos. @ bientôt,Michel
N
Voilà le verre dans tout sa plendeur aiguisée, cela devrait-être agressif et pourtant cela paraît si doux ... je reste pensive autant qu'admirative.<br /> Bonne semaine Michel
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M
Le verre est un obstacle qu'on ne voit pas... c'est là toute son ambiguïté. @ +Michel
I
D'autres élucubrations? vraiment? Faites attention... mes Chants en sont minés...Ikkar, with love
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M
Je sais... je sais...Michel
I
Ils prennent appui sur des poutres de bois ou de métal, marquées (date?), les soutiennent avant qu'elles ne les écrasent, ils y sont enchaînés, ou, leurs liens défaits, ils attendent - sans bouger, ...la prison intérieure est-elle pire que les entraves qu'on leur met, qu'ils acceptent (?) qu'on leur mette? L' eau envahit leur vie... un peu plus, et ils seront submergés. Il suffirait de si peu pour se sauver. Briser la vitre ... Mais le verre sur les veines, et le sang qui coule, le sang sur les mains... Oui, il suffirait de presque rien pour échapper au chaos... à son propre chaos...<br /> Ikkar, with lovePardon pour ces élucubrations... lol
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M
Les élucubrations font partie de ma démarche avant de peindre, donc, je les entends avac attention et plaisir. Elles ne m'ennuient jamais.  @ bientôt pour d'autres??@ bientôtP S les chiffres sur la poutre vont de trois en trois, mais pourquoi? j'avoue que je ne m'en rappelle plus... malheureusement .Michel
M
Magnifique tableau, une fois de plus. Je suis très admirative du rendu du verre, froidement agressif...mon regard s'arrête sur les veines saillantes qui ont l'air bien vulnérables....je n'ai pas réussi à lire ce qui est écrit...( tentatrice ?  et ne coulent pas ? ) bonne journée
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M
Le danger d'être graveS'arrête à la blessureEt même les larmes de verreÀ la transparenceTentatrice,Provocatrice,Ne coulent pas. C'est ce qui est écrit sur le tableau, mais c'est pas terrible.  J'adorais à l'époque improviser au pinceau un poème sur la toile juste avant de signer, c'était un défi. Je me suis très vite arrêté, car je n'ai fait qu'accumuler des "à peu près". Les défis ne sont pas forcement de grandes idées.@ bientôt Maryse,Michel
J
Une fois de plus, je n'ai pas de mots. Juste des ressentis, pas toujours faciles à exprimer.
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M
C'est pas necessaire, savoir que tu viens par ici me fait suffisemment plaisir. @ bientôt JoyceMichel

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Mon travail d'artiste peintre, auteur et photographe...

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