Ce grand tableau de D’geyrald devait être le premier d’une série. En fait, nos emplois du temps respectifs ne nous ont pas permis d’aller plus loin.
C’est un beau souvenir.
Nous avions longuement parlé ensemble du métier de chanteur, (métier que j’ai pratiqué dans les années 70) de la fragilité qu’il peut installer chez un jeune propulsé trop tôt (et souvent mal) dans un système qui lui échappe.
J’avais envisagé de lui écrire des textes de chansons, mais comme toujours, il est difficile de maintenir toutes les promesses, dès lors qu’on ne se voit pas assez souvent.
Il y a quelque temps, nous nous sommes rencontrés pas hasard devant la librairie Blue-Book. Nous avons pris un pot ensemble et il m’a parlé avec enthousiasme de sa passion pour la peinture, de ses projets en la matière et surtout de son investissement en Afrique au sein de sa fondation "Association Soleil d'art".
Beau mec, belles idées, bel entrain.