Nous fut bien plus facile
Que de croire en nous-mêmes, si fragiles…
© Giliberti 2007


Ce jeune homme, libéré de cette tyrannie depuis seulement trois ans, racontait avec douceur et ravissement combien il lui était agréable désormais de sortir, rire, fréquenter qui il voulait sans être accusé de commettre un pêché mortel, sans se sentir coupable à cause d'un système qui ne lui imposait qu'une vision disciplinaire de la vie.
Son bonheur nouveau me donnait à penser au mien quand un matin, je décidai de ne plus croire en Dieu.