
Je n’ai pas d’autre image pour traduire ces temps de guerre fratricide. Ce voyage sur terre se fait les yeux bandés, avec un goût funèbre sur les papilles.

Je cherche ces bruits.
Ses notes de musiques circulent encore un peu, mais je les sens rejoindre le parc des morts.

Depuis peu, je fais ce geste incroyable, ce geste (tant de fois refusé) de zapper sur les informations tant elles relativisent à mes yeux notre supposée supériorité.
