Que les siècles ont tissé
Du soleil travailleur
Et des contes qu’il renferme
Et puis...
Déposer sur ta peau
Qu’il m’est donné de voir
L’ombre fraîche de mes yeux
Tout à l’ambre des tiens
Et puis…
Pour abolir la peur
Que les mots et les lois
Font naître au cœur des hommes
Et puis...
© Giliberti / 2008