
Les murs blancs autour de ta peau sombre
Ton chapeau et mes mots pour en rire

Tes histoires et tes gestes fleuris
Les oiseaux cachés dans le figuier
Le vin doux de Korba qui t’endort
Son sang rouge qui bouscule le mien
Le silence qui s’invite dans la cour
Et la sieste qui guette déjà…
© Giliberti