
Impossible pour moi de partager ta foi
Impossible d’avancer dans le vide.
J’aime pourtant tes mots quand ils nomment les choses et me parlent de l’homme, mais quand ils nomment le ciel, ils ne me parlent plus.
Tes sourires me suffisent et tes yeux
Quand il me faut les peindre
Quand ils livrent tes secrets.
L’éternité pour moi,
C’est peut-être ça… une toile sur laquelle tu t’inscris.
Une toile, comme l’instant fragile d’une communinon païenne.






