



Heureusement le soir, nous nous installons sur les nattes et les coussins du café Sidi Bou Hedid pour boire un thé à la menthe, se laisser envahir de l’odeur des chichas et de la voix d’Oum Kalsoum qui chavire les cœurs de chacun.
Et là, c’est moi qui parle, qui parle, qui parle…
Je parle aussi de ma barque... de mon « embarquement » sinon pour Cythère, du moins pour la Tunisie.