Passagers clandestins d’un voyage sans danger, ton accord et mes doutes ne trouvèrent point d’entente.
J’aurais pu comme d’autres profiter d’une union de fortune sous le jasmin en fleurs, au fond du vieux patio, mais l’étreinte volée – si facile soit-elle – ne me convient jamais, et m’ennuie à mourir. De tes vaines attentes et de tes bouderies, j’ai déduit que le spleen n’est pas long quand l’exil est bien court et que tous mes transports pouvaient bien se poursuivre ailleurs que dans tes bras.
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Ben oui... difficile de larguer cette identité d'écriture hors du blog :o) même Besson n'y peut rien.<br />
@ bientôt<br />
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Michel <br />
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N
nabeth
30/01/2010 20:07
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Heureusement, Michel, que nous pouvons, parfois, contrôler nos émotions, nos impulsions, nos tentations, les "invit's": nous ne serions plus aimants, plus amoureux, et plus libres pour ceux que<br />
nous choisissons et qui nous le rendent bien.<br />
Le don de soi est un acte merveilleux... et partagé.<br />
Je vous embrasse.<br />
Nabeth <br />
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Il le faut parfois, c'est une question de survie aussi... à se perdre pour se perdre, autant se perdre rarement et pour de futurs souvenirs inoubliables.<br />
Merci Nabeth pour vos réflexions si proches des miennes.<br />
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@ bientôt<br />
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Michel <br />
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R
réjane
30/01/2010 16:47
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une étreinte volée ne peut que laisser un goût amer, de quelque chose comme un manque<br />
rejane<br />
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Oui, Réjane, mais cependant les élans les plus brefs et les plus imprévus ont aussi un goût de trop peu qui leur donne parfois, une valeur incroyable...<br />
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Mon travail d'artiste peintre, auteur et photographe...