Certaines ruelles de la médina de Tunis sont si bien restaurées que parfois on croirait déambuler sur un plateau de cinéma.
Aussi, comme la vie est une immense farce et que les rôles ne sont pas toujours à la hauteur des comédiens, je m’échappe quelques jours pour répéter le seul qu’il me soit encore permis de jouer : voyageur solitaire dans les coulisses de ce décor qui me convient tant.
@ bientôt les amis...