La vieille ville me parlait toujours autant, mais les mots d’amour d’autrefois semblaient éparpillés comme ces miettes que les oiseaux arrachent aux pavés des ruelles.
Silencieux et serein, je m’abreuvais de souvenirs. Cela me suffisait. Je me sentais libre de n’aimer que moi après avoir tant aimé les autres.
Mais c’est au rouge de ta laine que se réchauffaient encore mes lointains sentiments.