Je me tais, vous embrasse et me sauve.
Votre peau n’a qu’à mieux se tenir sous l’orage des chambres.
Mes sirènes ont bien trop ameuté vos forêts et aux festins de l’aube, je préfère le jeûne des nuits.
Les faubourgs m’attendent et avec eux, le souffle gris des voitures et la peau jaune des passants… Tout, plutôt que la verveine de vos yeux et le poison de votre bouche.