Te parler de mains dès aujourd’hui
Recouvrir ta peau de mes sourires
Te dire que tu es, que tu seras
Qu’avant, c’est plus tard et c'est toujours.
La pluie de mes yeux dans ton été
Comme l’eau de ta bouche dans mes déserts
C’est peut-être trop ou pas assez
Un simple avatar de nos retards
Le zèle d’une audace dans l’odyssée.
Sans doute l’essence ciel de l'eau d'ici.
© Giliberti