C’est la journée de la femme… Une par an. Quel effort, n’est-ce pas, quand il faudrait penser à vous toutes, toute l’année ? Désormais en Tunisie, j’ai une pensée accrue pour vous et pour ma mère ma mère qui me fit naître sur cette terre qu’elle adorait. Aujourd’hui, elle vit en moi depuis qu’elle ne vit plus, mais c’est sans douleur, sans drame… elle est juste là, au creux de moi… réfugiée heureuse, avec ses rires, comme toujours.