La bête qui vit en moi attend toujours de tes caresses, mais un hiver maussade et un été humide lui donnent l'envie d'un autre maître.
Je me barricade derrière l’ennui. Petite résistance et douce revendication.
Mon mal d’en haut, comme un carillon éolien, tinte au gré du vent.
Hémographie des désordres © giliberti / éditions bonobo