C’est un conte où l’azur constelle le gris des jours ordinaires, où la peau, douce et d’ambre, absorbe toute crainte dans nos nuits améthyste.
C’est un conte où les formes, impatientes dans la glaise, surgissent entre les mains quand vos paupières de terre vous empêchent de les voir.
C'est un conte de trop, où peut-être de rien, mais les bleus à mon âme n’ont jamais plus d’alliance qu’en ces terres d’enfance où le noir d’un regard peut encore me faire naître.
C’est un conte où l’azur constelle le gris des jours ordinaires, où la peau, douce et d’ambre, absorbe toute crainte dans nos nuits améthyste.
C’est un conte destiné à nos coeurs qui désirent autre chose qu’un matin d’infortune à deux pas des commerces.
C’est un conte aux parfums si puissants qu’il engendre l’oubli et l’amour de l’autre.
C’est un conte où pleurer ne rime à rien, où la seule eau qui compte est celle de sa bouche.
C’est un conte où les formes, impatientes dans la glaise, surgissent entre les mains quand vos paupières de terre empêchent de les voir.
C’est un conte de trop, où peut-être de rien, mais les bleus à mon âme n’ont jamais plus d’alliance qu’en ces terres d’enfance où le noir d’un regard peut encore me faire naître.