Tu commenças ta vie quelque part en souffrance, sans parents, sans amis.
S’engagèrent les voyages forcés, les familles d’accueil, les demeures éteintes et les fugues qui détruisent.
Tes soupirs et tes plaintes ne se remarquaient pas.
Puis un jour la rencontre.
Notre rencontre !
L’atelier… la lumière sur toi… des photos, des tableaux ; ton visage et ton corps sur les murs, sur le sol… dans tes yeux, dans ton cœur.
Alors, tes sourires, et tes larmes.
Alors, la naissance et l’envie de te battre.