
Ces deux toiles un peu maladroites sont si anciennes que je ne tente même pas de me souvenir de la date de leur création, pas davantage de savoir dans quelle collection elles peuvent encore palpiter…
À cette époque, le ciel avait alors une profondeur inégalable et mes instincts de créateur se mariaient à lui.
Je vivais le bonheur absolu d’avoir tant à dire et tant à donner… d'avoir à faire mes preuves pour celui que j'aime toujours.
Si déjà dans ces deux petits tableaux, il y avait des ailes (thème récurrent dans mon travail), il y avait aussi des condamnés qui s’aimaient trop et ne savaient envisager la fin…
Le temps passe vite et les ténèbres ne sont jamais très loin.
