Quand tu venais squatter mes draps
Voyou.
Regards vicieux, visqueux sourires
Salive acide, sombre délirs
Voyou
Blanche héroïne et drogue intime
T'organisais bien ma déprime
Voyou.
T'entendais jamais les colombes
Trop attentif au chant des bombes
Voyou.
Bien trop fidèle à ta rythmique
Tu grandissais sans procédure
Adorable petite ordure
Voyou.
T’avais jamais lu, jamais cru
Qu’en l’arrogance de tes mots crus
Voyou.
Mais j’ai en moi tant de hauteur
Que j’ai fermé cœur et demeure
C’est tout.
© Giliberti / Texte Chanson / 2007
Sandro...