J’ai toujours aimé les poésies persanes…Ommar Khayyam en écrivait une par jour.
En vertiges avenants
Et mes rêves nomades
Nés de vous, Nezâmî,
Me narrent la nonchalance.
Vos soleils affamés
Éphémères mais fidèles
Se rappellent à ma peau,
Et la soie de vos vers
Dans leurs contes de Perse
Enrubanne mes nuits.
© Giliberti / 2007