En 2008, un de mes romans les plus anxiogènes et sans doute mon préféré était publié sans grand succès, je dois l’avouer. Son titre : « La peau du monde ». En décembre, j’ai eu la tentation d’en lire quelques pages revenues en mémoire ; aussitôt elles m’ont inspiré cette toute première toile de 2025, également nommée « La peau du monde ».
C’est une grande respiration, car ce tableau commencé en 2024 m’a demandé beaucoup d’énergie et de remises en question.