La bête qui vit en moi attend toujours de tes caresses, mais un hiver maussade et un été humide lui donnent l'envie d'un autre maître.
Je me barricade derrière l’ennui. Petite résistance et douce revendication.
Mon mal d’en haut, comme un carillon éolien, tinte au gré du vent.
Hémographie des désordres © giliberti / éditions bonobo
commentaires
jack 27/08/2011 10:57
Michel Giliberti 28/08/2011 09:13
nyco 27/08/2011 07:35
Michel Giliberti 29/08/2011 08:24
Roubiére yves 26/08/2011 22:11
Michel Giliberti 28/08/2011 09:11