Certains n'ont aucun soucis et dès le matin, dans les premiers rayons du soleil, se fatiguent terriblement dans le jardin...
Certains n'ont aucun soucis et dès le matin, dans les premiers rayons du soleil, se fatiguent terriblement dans le jardin...
Cœur en vrac, mais la vue à cran, voici quelques battements de paupières sur Paris… ici, les Tuileries avec au fond, dans l'immense perspective, l'obélisque de la place de la Concorde et encore plus loin, l'Arc de triomphe...
Le Louvre, depuis les jardins des Tuileries...
Toute la tragédie statufiée dans cette oeuvre de Louis-Ernest Barrias « Le sacrifice de Spartacus » dont le maniérisme ne parvient pas à me faire fuir ce jardin des tuileries... C'est beau, c'est tout.
« Le Minotaure terrassé par Thésée » de Jean-Étienne Ramey... grande légende, grande ville, grande épopée pour mon oeil et pour celui des touristes.
Rue de Rivoli, minuit ! Un angle de l'hôtel de ville. Je reprends la route jusqu'à la prochaine "virée". Si près Paris, heureusement... si près !
Alors que les peuples arabes se battent pour la liberté et la démocratie, qu’ils le font dans le sang, avec une fierté à toute épreuve et un courage sans faille, notre gouvernement avance la crainte de flux migratoires et veut ouvrir un "Débat sur l’islam"… vaste avancée idéologique de sa part, indispensable torchon à agiter pour esprit poussiéreux ! Puis, réalisant que l’idée n’est pas des plus judicieuses, qu’elle a la puanteur qu’elle mérite, le facétieux Fillon corrige le tir et renomme la chose en "Débat sur la laïcité".
Sarkozy et ses amis sont assurément en train de nous achever aux yeux du monde… Jamais gouvernement n’aura été aussi amateur ! Au lieu de trouver de vraies solutions fédératrices, Sarkozy récupère tous les bas instincts et va lécher le C… de Marine Le Pen afin de récupérer ses sales voix et, ainsi, assouvir sa lamentable soif de pouvoir.
« La politique coule dans mes veines » a-t-il dit… en attendant nous sommes alités et sous perfusion.
Un peu d’encre et mes mots
Naissent alors du désert
Où les vents sur la peau
Éteignent mes paupières.
Un peu d’ocre et ses maux
Meurent enfin du désert
Où les sables sur la peau
Allument ses prières.
© Giliberti
Published by Michel Giliberti - … - Poésie et société
Un peu de notre vie
Épure de nos croix
Sais-tu
Un peu de notre ciel
Blessures sous notre masque
Que tout
Un peu de notre mort
Clôture de nos cris
A une fin ?
© Giliberti
Published by Michel Giliberti - … - Peinture et Poésie
Il est des hommes doués
Comme autant de printemps
Qui se taisent et se terrent
Puis s’exhalent en secret.
Ceux-là mêmes qui refusent
Le soleil des mots pleins
Les eaux fortes des sens
Le verbe qui les sacre.
© Giliberti
Published by Michel Giliberti - … - Photos et poésie.
Si chaque année, février me balance à la gueule un an de plus et sa St Valentin désabusée, il m’apporte aussi l’éclosion et l’épanouissement des hellébores du jardin. Cette fleur qui va durer si longtemps permet de me distraire un peu de toutes les blessures humaines que nous voyons s’étaler sur nos écrans depuis des semaines, de toutes ces révolutions des peuples qui ont soif de liberté, de démocratie et dont certaines aujourd’hui vivent l’enfer.
Petites taches vert pâle, mauves dans les coins obscurs du jardin… Grands rêves d’un peintre qui voudrait que s’aiment les hommes, que leurs couleurs sèment...
C’est l’abysse d’une étrange demeure
D'un endroit bien enfoui dans les signes.
Il inscrit en mémoire les tabous
Et meurtrit l’insoumis qui en souffre.
C’est le souffle d’une étrange torture
D’un endroit où s’ordonne la vie.
Il détruit une à une les ivresses
Et immerge votre pourpre dans le noir.
© Giliberti
Published by Michel Giliberti - … - Peinture et Poésie
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