Le visage de la mer est encore celui qui me convient le mieux et aux longues soirées en tête à tête, je préfère le face à face turquoise de son horizon qui m’enchante.
Le visage de la mer est encore celui qui me convient le mieux et aux longues soirées en tête à tête, je préfère le face à face turquoise de son horizon qui m’enchante.
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Et voilà... Depuis des années, j'en rêvais. Les choses sont longues à s'installer ! Les beaux récits, les verts espoirs, les forces vives, tout semble vous échapper. La griffe du temps ne vous épargne pas, non plus. Puis un jour, on se retrouve devant une porte ouverte. À petits pas et sans faire de bruit, on entre dans l’espace intime de ses désirs et là... on entend le murmure des hommes oiseaux.
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Ses yeux pleins du soleil que dégage sa peau
Se ferment à l’Orient où les lumières se lèvent
Elles argentent ses mots comme elles boisent son souffle
Puis inondent sa bouche de la voix du désert.
De nous tous, c’est celui qui saura taire les maux
Et d’un geste d’ébène faire renaître demain.
© Giliberti
Published by Michel Giliberti - … - Peinture et Poésie
C’est la journée de la femme… Une par an. Quel effort, n’est-ce pas, quand il faudrait penser à vous toutes, toute l’année ? Désormais en Tunisie, j’ai une pensée accrue pour vous et pour ma mère ma mère qui me fit naître sur cette terre qu’elle adorait. Aujourd’hui, elle vit en moi depuis qu’elle ne vit plus, mais c’est sans douleur, sans drame… elle est juste là, au creux de moi… réfugiée heureuse, avec ses rires, comme toujours.
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Les chemins lourds de sens savaient se faire légers
Quant son sourire discret flairait mon impatience.
L’âcreté du vent fort n’empêchait plus la marche
Et l’eau vieille des douleurs s’évaporait bien vite.
© Giliberti
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Entre contes et faits, tissée dans l’or et la soie magenta, cette photo est née d’un incendie de tant d’émoi sous le soleil de tant de mois.
Published by Michel Giliberti - … - Peinture et Poésie
Maintenant que je vis en Tunisie, il m’est plus difficile d’en parler. Ces quelques photos le feront certainement mieux que moi.
J’ajoute simplement que les rêves ouvrent la volonté et que la volonté ouvre l’appétit des rêves.
La mer, le désert, grain de sable, goutte d’eau, tout cela est une alchimie qui vous saisit puis s’impose. Alors vous n’avez plus le choix, vous y allez.
J’y suis allé. J’y vis. Jusqu’à quand ? Peu importe ! Il fallait le faire, c’est tout. L’enfant méditerranéen et têtu que j’étais est devenu un adulte têtu. C’était à prévoir.
Alors voilà, c’est là, tout bleu, tout turquoise, tout vert, tout doux, tout violent, tout agaçant même, parfois, mais c’est là, dans le creux de la main, ce beau désordre, accroché aux murs blancs fissurés et dans les yeux noirs qui se construisent. C’est une voix qui claque, un rire qui s’affiche, des larmes et de la sueur, un parfum tenace, un air étrange qui ne ressemble à aucun autre. Comme dit mon amie Elodia Turki, « C’est notre air ! »
Heureuse entente entre deux générations...
Comtemplation et instrospection... un enlacement entre pierre et chair émouvant.
Arrêt le temps d'un SMS... Portable, quand tu nous emportes...
La grande classe à la station de bus de la Marsa... L'entrée discrète d'une somptueuse maison de Sidi Bou Saïd...
Vincent, François, Paul et les autres... un remake de Sautet made in Tunisia.
Le repos devant l'immensité de la mer...
Quand une simple palme barre l'horizon, le zèbre et lui donne sa distance.
Petite conversation...
Amour et contemplation dans les bleus de Sidi Bou Saïd...
Amour et contemplation dans les bleus de Sidi Bou Saïd... encore !
Amour, amitié ?
Voiles et vapeur...
Grâce et simplicité...
Sidi Bou Saïd ou le vertige turquoise...
Petit coup de fil au soleil juste à côté...
La plénitude absolue, toujours au même endroit...
Les sourires toujours au rendez-vous...
Les petits flamants roses de Sidi Bou SaÏd...
Et leurs amis...
Un voyageur du TGM (le petit train tranquille entre Tunis, la Goulette et la Marsa)
Le jour se lève, mais la lune, comme une amante délaissée, s'accroche au ciel qui la rejette...
Un ange passe...
Dans la douceur de la nuit qui s’installe, vous observez la mer, vous écoutez son bruit. Le vieux mur se dresse sur la falaise et le feuillage qu’il retient s’obscurcit dans le ciel. Dans ces moments de pure entente avec les éléments je me dis que l’audace serait, peut-être, de ne plus en avoir, l’aventure, de ne pas en vivre…
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