L umière celeste sur les ruines flamboyantes de Carthage... Lumière des hommes sur les ruines de la droite en France... durable, je l'espère !
L es bleus de Sidi Bou Saïd sont en deuil...
C ’est ailleurs que l’histoire se fait vôtre… ailleurs qu’elle vous identifie.. MG
C urieux chagrin, curieuse guerre Mal et bien en corps étranger Dissidence de mes sens Ici Là-bas L’état de grâce est-il un état en danger ? © Giliberti
L e visage de la mer est encore celui qui me convient le mieux et aux longues soirées en tête à tête, je préfère le face à face turquoise de son horizon qui m’enchante.
Si vous aimez New York et si vous aimez mes photos... Emmanuel Fremin Gallery SOHO 546 Broadway PH 5B, New York, NY 10012 http://efg-artgallery.com PH: 212 274 8981 Cell: 646 245 3240 link
O bscur et vert, l'antre des contes Des bris de verre, débris de coeur... Absinthe vive de tes grands yeux Démélé trouble de méloés. M Giliberti Cliquer sur le simages pour les aggrandir
« Juste pour le plaisir des yeux » comme disent les Tunisiens. Je suis un amoureux des hellébores, j'en ai plein le jardin. Ce sont des fleurs qui durent des mois et qui aiment l'ombre.
C ’est peut-être la graine ou c’est peut-être l’eau, de ces choses qui parlent sans jamais se livrer, le parfum magnétique des glycines en nocturne qui expire à l’aube comme semaison d’amant. MG
D ’argent, le soleil sur les vagues De bronze, ses épaules mouillées D’argile, mes paupières brûlées De larmes, les traces sur mes joues. © Giliberti
J e vous aurai tant donné Je vous aurai tant volé Mais à l’approche de jours plus sombres Mon impatience de l’absolu Se lasse de votre port d’attache De son anneau à ma frégate. L’ivresse est là, encore intacte Mieux vaut la vivre que vous aimer… © G...
P’tit rêve pâle P’tite envie sale P’tit ami râle P’tit amiral Combien de toi dans tout ce moi Et que d’ennui dans tant de nuits ! C’est à peine si C’est ta peine qui C’est à nous deux C’est à nous de… De quoi ? © Giliberti
C ’est de bonne heure Que mon bonheur Se fit d'un rien Quand l’hibiscus... Quand le bissap… C’est bien après Que tes apprêts Me fatiguèrent Quand les mensonges… Quand l’arrogance… C’est l’Harmattan Qui m’arma tant Sous le soleil Quand la poussière… Quand...
Sans se retourner, partir et disparaître… Les bras chargés de rien, la tête vide de tout.
J e n'aime que les murs Qui jettent l'ombre sur ma peau Je n'aime que les peaux Qui incendient mes murs. © Giliberti
C ’est aux heures lourdes de la sieste, dans le silence engourdi de la chambre, que tes gestes savaient réveiller mes sens. C’est aux heures sourdes de la sieste, dans le tumulte éperdu de mon coeur, que mes mots savaient endormir tes pulsions.
U n matin comme tant d’autres... Quand le gris épouse la couleur... Q uand ne penser à rien vous devient essentiel... Quand la mort devient ville de craie... Quand renier l’ivresse vous enivre sur place... © Michel Giliberti Cliquer sur les photos pour...
V ague à l’âme et clair obscur des souvenirs. Martèlement du temps qui passe. Questions sans réponses Sommes-nous si peu pour tant attendre de nous ?
Le soleil est revenu dans le jardin, et avec lui, les couleurs ... Les bignones qui commencaient à baisser leur garde semblent se réveiller dans le petit matin.
S ecrets au fond des cours et cour en mots discrets. © M Giliberti
U n peu de distance avec le quotidien, mes amis... je pars une dizaine de jours sous d'autres cieux. Juste avant, je pose ici comme autant de baisers, les feuilles roses de mon cornouiller favori et je vous dis à bientôt.
D errière les contrevents, je rêve encore de longs murmures, de sourdes plaintes en mon pouvoir... De ton alliance à tous mes risques. Michel Giliberti
J'aimerais, à l’obscur de tes murs, retrouver l’image de ton visage et la musique de tes lèvres, quand, à me taire plutôt qu'à divaguer, j’observais le délice et la clarté de tes traits que la pénombre absorbait comme un astre.
C e soir, le soleil balaie l'atelier de ses derniers rayons et tente de donner à mes toiles les couleurs dont je les prive depuis un certain temps. Alors je me dis, demain peut-être... qui sait ? Mais pour l'heure... laissons l'atelier se reposer dans...
D érive au fil de l’eau Remords et mort de l’âme… En plein hiver, les Ports Puniques. M ortels souvenirs Silence au fond du cœur... En plein hiver, les Ports Puniques. A illeurs et sans pareil Ton frêle et beau visage... En plein hiver, les Ports Puniques....
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