L’atelier s’est illuminé avec les bleus et les ors de Lucas, mes sulfates et mes cuivres, l'huile d'oeillette et l'essence d'aspic.
Il paraît que dehors il fait gris mais derrière la toile blanche, j’ai du mal à le croire et c’est à la martre de mes pinceaux que je donne à penser que commence le voyage.
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