L’indolence des feuilles mortes dans le jardin est le signe que tout s’éteint et ton regard d’enfant meurtri, dans la lumière de cet automne, s’est assombri comme en hiver.
Tes larmes ont encore dit comme tu l’aimais, les miennes, combien je t’aime.
Quand la jeunesse se disloque et qu’aucun mot ne la répare, il est dur de s'accrocher à ses rêves et d’observer la vie en face.
Même si la mort a tant flétri tes jeunes années, même si souvent, elle t’a laissé au bord du gouffre, jamais elle ne froissera ton courage.
Cours au centre de tes chimères et n’oublie pas que dans mes terres d’enfance, là-bas où tout est bleu, il y a place pour ceux que j’aime.
commentaires
Yves ROUBIERE 22/01/2010 15:43
Michel Giliberti 23/01/2010 10:21
Roubiere Yves 22/12/2009 12:16
Michel Giliberti 22/12/2009 12:27
Henri-Pierre 11/11/2009 21:35
Michel Giliberti 12/11/2009 07:15
Nath 11/11/2009 12:01
Michel Giliberti 11/11/2009 17:33
Eauvive de Giselle et michel de artlaSarraz 10/11/2009 18:55
Michel Giliberti 10/11/2009 23:31
bellelurette 10/11/2009 16:26
Michel Giliberti 10/11/2009 23:32
nabeth 09/11/2009 20:42
Michel Giliberti 10/11/2009 09:18
eva baila 09/11/2009 17:46
Michel Giliberti 09/11/2009 17:50
Nath 09/11/2009 07:59
Michel Giliberti 09/11/2009 17:53
jack 08/11/2009 20:28
Michel Giliberti 09/11/2009 07:24
moktarjunior 08/11/2009 17:41
Michel Giliberti 09/11/2009 07:25
nabeth 08/11/2009 17:37
Michel Giliberti 09/11/2009 07:30