Quelle étrange chose que ce baiser furtif en soirée, quand, au fond du jardin, dans l’air soudain plus frais, je vous avais raccompagné jusqu’à votre voiture ! Une calèche tirée par des chevaux m’aurait moins étonné, tant votre visage romantique s’accordait de cette époque. Tout au long de la soirée, alors que nous dénoncions la noirceur des chiens et des loups d’aujourd’hui, j’avais pensé que seuls les vins et la musique rendaient vos yeux brillants mais là, dans les lumières qui bleuissaient les bambous, je me sentis rougir d’en mieux comprendre le sens. Hélas, en réponse à vos lèvres hésitantes, je n’eus que des mots balbutiants quand il aurait mieux valu en explorer l’ardeur.
commentaires
Chris-Tian Vidal 07/06/2010 13:03
Michel Giliberti 07/06/2010 14:52
Roubiére Yves 05/06/2010 17:16
Michel Giliberti 05/06/2010 17:53
Nanie 05/06/2010 17:02
Michel Giliberti 05/06/2010 17:50
NYCO 05/06/2010 15:36
gage de ne pouvoir 05/06/2010 16:09
Nabeth 05/06/2010 12:37
Michel Giliberti 05/06/2010 16:01
François 05/06/2010 12:14
Michel Giliberti 05/06/2010 15:57
eva 05/06/2010 10:19
Michel Giliberti 05/06/2010 10:31