
Le paradis perdu de ses jouets ? Les tâches rouges des coquelicots dans les blés ? La douce alarme de son cœur aux chants des amours naissants ?
Son mal de voir tout plus grand jusqu’à l’agacement ? Ce mal d’en haut pour fuir son mal d’en bas ?
L’éther pour fuir la Terre ?
La toile pour fuir l’étoile ?
La bête qui vit en moi attend toujours de tes caresses, mais un hiver maussade et un été humide, lui donnent l'envie d'un autre maître.
Je me barricade derrière l’ennui… petite résistances et douces revendications...
Mon mal d’en haut, comme un carillon éolientin, tinte au grès du vent.
commentaires
granfred 12/07/2007 21:43
Michel 23/08/2007 08:45
josie 11/07/2007 12:00
Michel 11/07/2007 12:30
josie 11/07/2007 10:57
Michel 11/07/2007 11:35
Maryse 11/07/2007 09:25
Michel 11/07/2007 09:42
Patrocle 11/07/2007 08:08
Michel 11/07/2007 08:18
mocktar junior 11/07/2007 00:47
Michel 11/07/2007 07:30
François 10/07/2007 23:41
Michel 11/07/2007 07:32
François 10/07/2007 22:34
Michel 10/07/2007 22:47