
Elles vous éclairent sur cette déshérence des choses espérées, des choses de la vie.
Alors vous croyez que c’est le prix à payer pour vos fautes.
La faute n’existe pourtant pas.
Elle est un mot… un mot qui nomme et qui pourrait ne pas exister.
Pourquoi faudrait-il s’imaginer responsable de nos pas qui s’emmêlent et de nos mots qui divaguent ?
Au déclin de la prétention, les maladresses anciennes du corps comme celles de l’esprit peuvent enchanter le départ.
commentaires
Hadrien 03/07/2007 11:12
Michel 03/07/2007 11:21
François 03/07/2007 09:58
michel 03/07/2007 10:27
François 03/07/2007 09:56
M 03/07/2007 09:26
Michel 03/07/2007 09:43
josie 03/07/2007 09:03
Michel 03/07/2007 09:14
mocktar junior 03/07/2007 00:54
Michel 03/07/2007 07:30