Je ne peins pas pour tous mais pour chacun.

De leurs mots en exile
Vers ceux-là qu’ils exècrent,
J’ai pitié de ces gens
Quand l’obscur des discours
Qu’ils brandissent au soleil
Se suffit d’être sourd
J’ai pitié de ces gens
J’ai pitié de leur vide.
Quand le rose d’une étoile
Et combla les charniers
La chaux vive fut la seule
À blanchir leurs mains sales.
commentaires
Nath 09/10/2009 16:23
Michel Giliberti 23/10/2009 18:25
Claudia Rosh 14/11/2008 22:33
Michel Giliberti 26/11/2008 15:25
lionel 24/04/2007 17:11
Michel 24/04/2007 17:39