Ses expressions provocatrices retombaient la plupart du temps comme un soufflé devant les mots précis et dénués de ressentiments de Madame Gisèle Halimi qui a, avec d’autres femmes pionnières, permis par ses actes militants que cette « nouvelle romancière » parle aujourd’hui en toute liberté des choses du cul et fasse ce qu’elle veut du sien.
Il était navrant de voir avec quel mépris, Virginie Despentes rétorquait de sa voix blanche des insanités bien inutiles à l’égard de cette femme brillante.
Affligeant !
commentaires
mike 08/11/2010 17:23
Michel Giliberti 23/11/2010 14:11
nathgrim 08/08/2007 09:15
Michel 08/08/2007 10:07