
Tu commenças ta vie quelque part en souffrance, sans parents, sans amis.
S’engagèrent les voyages forcés, les familles d’accueil, les demeures éteintes et les fugues qui détruisent.
Tes soupirs et tes plaintes ne se remarquaient pas.
Puis un jour la rencontre.
Notre rencontre !
L’atelier… la lumière sur toi… des photos, des tableaux ; ton visage et ton corps sur les murs, sur le sol… dans tes yeux, dans ton cœur.
Alors, tes sourires, et tes larmes.
Alors, la naissance et l’envie de te battre.
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eva baila 09/06/2009 17:24
Michel Giliberti 09/06/2009 19:05
eva+baila 09/06/2009 13:10
Michel Giliberti 09/06/2009 15:57
eva+baila 09/06/2009 08:24
Michel Giliberti 09/06/2009 08:57
Fée 09/06/2009 00:32
Michel Giliberti 09/06/2009 07:57
mamiekeke 09/06/2009 00:22
Michel Giliberti 09/06/2009 08:05
Jj 08/06/2009 20:37
Michel Giliberti 09/06/2009 08:07
tania 08/06/2009 19:04
Michel Giliberti 09/06/2009 08:09
covix 08/06/2009 18:13
Michel Giliberti 09/06/2009 08:10
François 08/06/2009 17:14
Michel Giliberti 09/06/2009 08:16
Le tatoueur fou 08/06/2009 17:12
Michel Giliberti 09/06/2009 08:17