Mes yeux accrochaient sa lumière
Les siens savaient lire mes faiblesses.
Qu’importe d’avoir tort ou raison
Qu’importe les mots qui condamnent
L’homme naît des désirs et des peurs qu’il s’invente
L’homme meurt du confort et des trêves qui l’assoient.

Ses yeux allumaient mes ténèbres
Les miens savaient lire ses desseins.
Qu’importe d’avoir tort ou raison
Qu’importe les mots qui condamnent
L’homme naît des errances et des bruits qu’il s’impose
L’homme meurt des silences et des haltes qui l’accablent.
commentaires
pons xavier- alexandre 08/12/2008 15:22
Michel Giliberti 08/12/2008 17:44
bellelurette 06/12/2008 09:14
Michel Giliberti 06/12/2008 09:24
Jack 05/12/2008 23:32
Michel Giliberti 06/12/2008 08:04
X 05/12/2008 21:27
Michel Giliberti 05/12/2008 22:01
Jack 05/12/2008 20:32
Michel Giliberti 05/12/2008 21:14
François 05/12/2008 18:00
Michel Giliberti 05/12/2008 21:17
Maryse 05/12/2008 16:30
Michel Giliberti 05/12/2008 21:20
isabelle 05/12/2008 15:22
Michel Giliberti 05/12/2008 21:26
François-Xavier (Jj) 05/12/2008 14:36
Michel Giliberti 05/12/2008 21:26